Les aventures de Gnocky l'extraterrestre - Chapitre 2

Crédit image : Miss G.(journaldebordduneinfirmiere.over-blog.com/)

Le 2e épisode tant attendu des aventures de Gnocky !

Gnocky essaye de se relever, mais cela est impossible. Amicie ayant pitié du petit extraterrestre, lui propose de l’emmener à l’hôpital. Gnocky refuse car, c’est un alien et il qu’il n’a pas sa place aux côtés des humains. Mais Amicie a une idée !

« Et si je te déguisais ? Je me ferais passer pour ta mère, et toi tu serais mon petit garçon avec une maladie te rendant tout vert et tout petit. »

Gnocky acquiesce d’un hochement de tête. Amicie prend plusieurs longues minutes à préparer Gnocky, puis elle l’emmène à vélo, en laissant un mot a ses parents qu’elle pose sur la table à manger :

« Maman, Papa, je suis partie chez une amie, je serai de retour demain vers 10h au plus tard. Elle m’a appelé pour un problème familial : elle était en pleure, je vais lui rendre visite.

Je vous fais de gros bisous, je reviens vite.

Amicie. »

Une fois arrivée à destination, Amicie emmène Gnocky aux urgences pédiatriques de l’hôpital. Après y avoir patienter pendant des heures, voilà enfin son tour :

« Gnocky s’il vous plait ! cria une infirmière. »

Il s’avance et entre dans une salle où il doit être observé par un médecin.

« Alors que t’est-il arrivé jeune homme ? » Lui demande le soignant en blouse blanche.

Amicie répond que Gnoky est dans une souffrance tellement terrible qu'il ne peut plus parler, et qu’elle doit expliquer à sa place :

« Mon petit garçon est tombé de son lit et s’est tordu le bras droit. »

Gnocky est ainsi emmenée pour faire une radio : son bras est effectivement cassé, et l’infirmière décide donc de le garder :

« Nous allons lui mettre un plâtre, merci de patienter. »

Mais au moment où l'infirmière se saisit de son bras, elle remarque tout à coup que sa peau est verte : prise d’effroi, elle fait signe au médecin. Ce dernier lui chuchote alors à l’oreille :

« Il est étrange … il peut rapporter beaucoup d'argents… gardons- le dans une salle sûre… »

Marie C. et Swann C. (6e Rubens)